Vendredi 6 avril. À 5h du matin les rues de Delhi sont presque calmes et encore un peu fraîches et nous arrivons comme prévu à la gare ferroviaire. Nous trouvons notre train et nos places sans trop de difficulté. En Inde, voyager en train est la garantie de recevoir de plein fouet le choc culturel et spirituel propre à ce pays.
D’abord le train traverse la ville que nous mettons un long moment à quitter puis la campagne avec de nombreux arrêts dans de petites villes. Les wagons sont bien remplis mais nous avons quand même de la place. Les bords des voies sont terriblement sales, tous les déchets (sacs plastiques, plateaux de petit-déjeuner, bouteilles…) sont en effet jetés par la fenêtre. On goûte à plusieurs mets proposés par des vendeurs ambulants, samossas, gaufrettes aux boulettes de patates… avec plus ou moins de chance. Nos voisins dans le wagon sont adorables, notamment un couple de personnes un peu âgées qui nous indiquent régulièrement et gentiment combien de temps il reste avant que nous descendions.
Quand nous arrivons à Agra, on se fait assaillir par les chauffeurs de rickshaws et de taxis… Par facilité on se dirige vers le stand de rickshaws prépayés, c’est-à-dire qu’on paye la course d’avance, à un prix fixe, sans avoir besoin de négocier. C’est plus facile, surtout quand on n’est pas très doué pour marchander, mais souvent un peu plus cher que le prix normal de la course, cela va de soi. Par la suite on se débrouillera toujours par nous-même et donc à moindres frais.
Nous nous faisons déposer dans le quartier de Taj Ganj, très fréquenté par les voyageurs à petit budget. Ce dédale de ruelles surpeuplées a été créé quand les ouvriers et artisans qui construisaient le Taj Mahal se sont installés au sud du Mausolée et nous tombons très vite sous son charme.
Nous prenons le temps de prendre un bon petit-déjeuner dans un bar/guesthouse afin de pouvoir également consulter notre guide et choisir un hébergement en évitant les nuées de rabatteurs. Bien rassasiés, nous nous dirigeons vers une des guesthouse qu’on a repérée et on obtient une chambre avec salle de bain pour 400 Roupies (un peu moins de 6€).
Nous partons ensuite nous promener dans les ruelles du quartier où tout nous plaît, l’architecture emmêlée des maisons, les couleurs qui rappellent le Maghreb, les gens qui sont beaux à tomber.
Je mets encore une fois ma timidité de côté pour demander aux membres de cette famille posée sur le trottoir l’autorisation de les prendre en photo. Non seulement ils acceptent avec joie mais ils insistent aussi pour nous prendre à leur tour en photo.
Un peu plus loin, tel une star internationale, Hervé est aussi interviewé et filmé par des indiens qui l’interrogent sur la météo et sur son opinion concernant Agra et l’Inde.
Nous passons ensuite un long moment sur internet afin d’obtenir des infos pour préparer notre prochain déplacement en train, vers Varanasi mais sans beaucoup de succès. Vers 16h nous quittons Taj Ganj et nous rendons à pied sur la rive nord de la Yamuna, la rivière qui coule derrière le Taj Mahal.
Nous marchons pour cela une bonne heure et utilisons le pont où passe la voie ferrée ; le train ébranle le métal rouillé mais les femmes en sari qui portent des marchandises, juste devant nous, sont imperturbables.
Depuis le parc de Mehtab Bagh, la vue sur le Taj est fabuleuse quand le soleil baisse et que ses rayons frôlent ses minarets.
Nous passons là un très bon moment. Nous sommes une nouvelle fois la cible des « paparazzi » indiens, mais on joue le jeu…
Quand le crépuscule commence à s’installer, nous prenons le chemin du retour. D’abord à pied puis en rickshaw après une négociation acharnée. Nous trouvons ce soir un petit resto sur un toit-terrasse peu cher et très bon. Derrière nous se dessine discrètement dans l’obscurité la silhouette majestueuse du grand palais.
Vendredi 7 avril. Nous nous rendons très tôt à l’entrée du Taj Mahal ce matin, après avoir toutefois pris le temps de boire un thé/café et de manger rapidement une petite tartine ; après tout il faut des forces pour affronter ce qui est considéré comme une des 7 merveilles du monde. À notre arrivée 4 files d’attente sont déjà formées, séparant les hommes des femmes et les Indiens des étrangers… Le tarif d’entrée est de 750 Roupies pour les étrangers et de 20 Roupies pour les Indiens…
Un singe espiègle fait des acrobaties le long des gouttières et nous divertit pendant cette attente où nous sommes impatients. Nous passons enfin la grande porte d’entrée et avons droit à une fouille méticuleuse. Nous arrivons alors sur le site du fameux mausolée.
Le Taj Mahal fut édifié par Shaj Jahan pour recevoir le corps de sa seconde épouse, Mumtaz Mahal, morte en mettant au monde leur 14ème enfant en 1631. Les cheveux de l’empereur au cœur brisé seraient alors devenus gris en une nuit. La construction du Taj ne s’acheva qu’en 1653, soit 22 ans plus tard. Peu après, Aurangzeb, un fils de Shaj Jahan, renversa ce dernier et l’emprisonna au fort d’Agra d’où il ne voyait sa création qu’à travers une fenêtre. À sa mort en 1666, il fût inhumé au côté de sa femme. Au total, 20000 ouvriers et artisans participèrent à la construction de cette œuvre d’art inscrite au patrimoine mondial de l’humanité depuis 1983.
Amour passionnel ou mégalomanie… sans doute les deux. Le résultat de ce travail de forcené est une prouesse de symétrie et de minutie. Si le Taj Mahal est magnifique et très imposant de loin, la visite de près révèle des détails et des décorations incroyables.
Nous restons près de 4h dans ce très bel endroit, à l’examiner sous toutes ses coutures et à se demander combien de personnes foulent chaque année le marbre lissé du sol du palais. Le nombre très élevé de touristes n’enlève cependant rien à la prestance de l’édifice.
En début d’après-midi, accablés par une chaleur étouffante nous faisons une petite sieste, et après avoir rencontré et mangé avec Paulette, une toute jeune toulousaine, nous partons vers 16h et toujours à pied, puisqu’il n’est pas très loin, vers le Fort d’Agra.
Des chameaux dont le regard triste nous chagrine auraient pu aussi nous emmener puisque les véhicules polluant sont interdits à proximité du Taj.
Le fort d’Agra, un des plus beaux forts moghols du pays parait-il, est bien rempli aussi de visiteurs de tous horizons. Il est construit essentiellement en grès rouge et en marbre blanc. Bâtiment militaire à l’origine, le fort fut transformé en palais par Shah Jahan puis devint sa prison dorée pendant 8 ans.
Nous faisons 2 fois le tour du fort car, la fin de la journée s’annonçant, celui-ci se vide peu à peu et la deuxième visite nous permet de mieux appréhender cet endroit somptueux et démesuré.
On nous prend encore plusieurs fois en photos…
Dimanche 8 avril. Ce matin notre mission est de dénicher des billets de train pour Varanasi. Pour cela et puisque tout est réservé depuis un certain temps, il nous faut nous rendre à la gare d’Agra de bonne heure pour réussir à avoir une des places débloquées la veille de chaque trajet par la compagnie de trains indienne. Nous prenons donc à 6h30 un rickshaw pour la gare. Le chauffeur, pourtant très gentil, essaie de nous endormir et nous emmener dans une agence pour toucher une commission en nous disant que les guichets n’ouvrent qu’à 9h et qu’on n’aura pas de place.
Devant les portes, une file d’attente a été mise en place et s’est autogérée ; un des hommes qui attend prend le nom et la place de chaque personne pour que la file se recrée proprement quand les portes vont s’ouvrir. Quelle organisation, c’est très surprenant ici ! Nous sommes à la place 30. Quand les portes ouvrent enfin, la file se recrée à l’intérieur pour que chacun puisse prendre un ticket et être ensuite appelé à son tour au guichet afin d’acheter son billet ! Nous réussissons ainsi et grâce aux conseils précieux de quelques hommes très aimables (il n’y a pas de femme…) à obtenir des billets pour demain soir, comme nous le souhaitions.
Hervé est très amusé par cet homme qui porte des chaussures à crampons de foot et cet autre vêtu d’un tee-shirt du conseil général de la Loire.
Nous rentrons à Taj Ganj pour manger.
Puis nous prenons pour la première fois un cyclo-pousse pour nous rendre au « Baby-Taj ». Mais nous ne sommes vraiment pas à l’aise car ce pauvre homme tout sec doit se tenir en permanence debout sur les pédales de son vélo trentenaire pour réussir à nous emmener à une vitesse tout juste supérieure à celle qu’on aurait à pied. Il est très fier et n’accepte cependant qu’on descende que pour la montée du pont.
Itimad-Ud-Daulah, surnommé aussi le Baby-Taj, est le ravissant mausolée de Mizra Ghiyas Beg, le grand-père de Mumtaz Mahal. Des treillis de marbre très raffiné et des pierres précieuses habillent remarquablement ce premier mausolée construit tout en marbre sur les rives de la Yamuna.
On apprécie beaucoup le calme qui règne ici et on en profite pour discuter un moment avec des touristes indiens venus d’Udaipur tout en observant les pêcheurs qui relèvent leur filet dans l’eau sale de la rivière.
Nous remontons avec notre cycliste, que l’on paye grassement pour les efforts qu’il a accomplis, afin de retourner vers le centre.
Nous nous faisons déposer à proximité de la gare de train pour aller faire un tour au Kinari Bazaar qui abrite des marchés pittoresques et des devantures surplombées par de jolis et anciens balcons en bois. L’odeur dans le marché aux épices est tellement puissante que la gorge nous démange et qu’on éternue à plusieurs reprises. Il y a également de petites mouches très agaçantes qui nous piquent le cou et tout morceau de peau qui dépasse.
Nous rentrons ensuite à pied. Nous passons la soirée avec Blanche que l’on vient de rencontrer et dont c’est le deuxième voyage en Inde en 6 mois et Paulette rencontrée hier. Pendant le repas, une procession festive se déroule dans la rue, que l’on peut suivre de notre toit terrasse, et des feux d’artifice sont tirés juste au-dessus des toits.
Lundi 9 avril. Avec Blanche, qui semble être la reine de la négociation, et Paulette, nous prenons ce matin un rickshaw pour la gare routière où nous montons dans un bus miteux pour Fatehpur Sikri. Dans celui-ci nous rencontrons Thérèse qui, à 74 ans, voyage seule en Inde et à travers le monde avec une pêche, un humour et un aplomb qui nous font rêver. Pour elle qui était déjà venue en Inde il y a 30 ans, la pauvreté a diminué un peu, une classe moyenne plus importante s’est développée et la pollution a terriblement augmenté, notamment avec l’arrivée du plastique. C’est intéressant pour nous qui n’avons pas de point de comparaison dans le temps.
Fatehpur Sikri, capitale de l’empire moghol sous le règne d’Akbar, est une magnifique citée fortifiée à 40 km à l’ouest d’Agra. Chef-d’œuvre d’architecture indo-musulmane, cette citée avec une mosquée splendide toujours en activité et trois palais pour les épouses favorites d’Akbar (une hindoue, une musulmane et une chrétienne) fut édifiée dans un endroit insuffisamment irrigué et fut abandonnée peut après la mort d’Akbar.
Si l’endroit est superbe, on nous avait bien prévenus, notamment à notre hôtel, que les rabatteurs, les vendeurs, les enfants mendiants et autres pseudo-guides sont particulièrement insistants. C’est le cas en effet et il faut une grande patience pour refuser gentiment toutes les propositions et écarter doucement les nuées d’enfants qui vous tannent pendant toute la visite ou presque. J’ai particulièrement rigolé quand Thérèse à un chauffeur de rickshaw qui voulait nous emmener tous les 5 dans son véhicule a répondu un peu vertement mais avec un sourire malicieux : « mais mon pauvre avec mon gros cul on n’risque pas d’tous rentrer là-dedans ! » et de partir dans un grand éclat de rire.
Après nous être un peu dispersés pour la visite nous mangeons tous ensemble (Paulette, Blanche, Thérèse, Hervé et moi) vers 14h dans un petit resto de Fatehpur Sikri où l’on essaie encore de nous arnaquer, le patron ayant subitement et largement gonflé les prix par rapport à ceux inscrits sur la carte.
Nous attrapons de justesse le bus qui nous ramène vers Agra avec une conduite typiquement indienne… tout sauf délicate (et c’est peu dire !). D’ailleurs plusieurs femmes indiennes passent une bonne partie du trajet à vomir par la fenêtre et nous on se tient comme on peut pour ne pas dégringoler de nos sièges branlants.
Nous n’arrivons pas trop tard à Agra et nous en profitons pour prendre une douche dans les chambres gentiment prêtées par les filles (puisque nous avons rendu la nôtre ce matin).
Depuis le toit terrasse au deuxième étage de l’hôtel où on mange ce soir, on se délecte de la vue sur les toits de Taj Ganj, avec la silhouette dentelée du Taj qui se dessinesur l’horizon qui bleuit, les singes qui sautent de toit en toit et les enfants qui jouent avec des cerfs-volants sous les premières étoiles.
Après ce petit repas au resto de notre guesthouse nous rejoignons la gare ferroviaire en Rickshaw encore vers 20H00. Là nous avons la désagréable surprise d’apprendre que notre train a 3h de retard, fait classique en Inde.
Nous rencontrons Paul, un jeune anglais qui doit prendre le même train que nous vers Varanasi. Nous partageons cette attente avec lui, en veillant mutuellement les uns sur les affaires des autres, sur ce quai de gare où grouillent la foule et les rats. C’est une véritable cacophonie où les passagers se précipitent vers leur place dès que le train s’ébranle et où les vendeurs restés sur le quai hurlent à chaque arrêt de train pour attirer de potentiels clients. On voit passer plusieurs trains, certains wagons débordant de personnes qui se tiennent telles des acrobates en équilibre sur les marches agrippées aux poignées des portes.
Il paraît que 10 à 20 millions de personnes utilisent le train chaque jour en Inde. Vers minuit et quart nous grimpons enfin dans le train et trouvons nos couchettes dans le wagon sleeper déjà occupées par un couple et un bébé. Ils ont confondu les voitures 1 et 11 et sont contraints de changer de places par le contrôleur.
Nous calons tant bien que mal nos bagages sous les couchettes et réussissons à dormir un peu, pas d’un sommeil très profond car nos bagages n’étant pas attachés nous sommes obligés d’y être assez attentifs…
Superbes photos, ça fait rêver, encore et encore…!
Merci de nous en mettre plein la vue (au sens propre !), de nous faire passer un chouette moment à chaque fois !
J’espère que vous allez au mieux, que vous profitez de chaque instant.
Plein de becs et à très vite !
Avec un peu d’avance…ou pas (puisqu’il est d’usage chez nous de le faire la veille et qu’on ne sait jamais avec le décalage horaire)
BON ANNIVERSAIRE NOTRE PETITE ANNA
C’est sans doute un dont tu te souviendras en y associant tant de belles histoires, images et rencontres.
Pour l’instant c’est cadeau pour nous chaque fois qu’arrive un nouveau post.
Continuez à bien profiter et à nous faire partager.
On est heureux de pouvoir dire « à très bientôt ».
On vous embrasse fort
C’est toujours aussi passionant de vous lire,quel voyage!
Joyeux anniversaire Anna et pleins de bisous à vous.
Sab,Kiki ,Olympe et Gabin.
Pascale (notre génie de la mémoire !!!) nous a rappelé qu’aujourd’hui, c’est …
VOTRE ANNIVERSAIRE !!!!!! Alors on vous souhaite un excellent anniversaire, sous les cieux népalais ! Dans (presque) un mois, vous nous raconterez tout de vive voix : on a hâte de vous entendre avec vos détails croustillants !!!
A bientôt !!!
bisous de Pascale, Brigitte et Valérie (Fred non plus ne vous oublie pas !!!)
Des photos qui nous font rêver et toujours le même talent de conteuse… On te souhaite un très bon anniversaire et on attend avec impatience la suite et fin de vos aventures. Bises. Solange
Juste un petit message pour fêter un joyeux anniversaire à notre petite Anna.
Profitez bien de ces derniers jours avant un retour qui doit s’annoncer difficile..
Bisous de tous les 3 3/4 (plus qu’un mois..)
On ne sait pas si tu as reçu nos voeux. (on n’a pas vu notre commentaire)
Au cas où.. et comme on ne peut pas laisser passer l’occasion, on te renouvelle
avec un peu de retard.
BON ANNIVERSAIRE
Profitez bien de vos dernières aventures népalaises. Nous on continue à profiter des histoires et des photos. On vous embrasse.
Ben il arrive quand ce train !?!?
Non non pas du tout impatient de savoir comment vous avez vécu Varanasi
Non non pas du tout
Pareil pour le Népal …..et de toute façon je sais meme pas où ça se trouve (et pourtant je connais toutes les lignes de RER !!!!)
Bisous a tous les 2 (mais seulement après votre douche si vous êtes en trek )
Après 7 jours de trek dans le Langtang et 8 dans les Annapurnas, nous voici de retour à la civilisation, sales, fatigués mais musclés et heureux… Merci beaucoup pour vos nombreux messages et mails. On vous embrasse bien fort et on vous dit à bientôt, en chair et en os.
et la photo d’Anna devant les Purnas du même(pré) nom ?
à très bientôt à Monnac
jmz
Bon allez c’est fini les enfants
On rentre là maintenant c’est l’heure !!!!!
Hervé tu poses ce sac a dos et tu viens a table !!!! Dépêche toi !!!
Anna faut te le dire combien de fois ?!? Pas la peine de me faire cette tête là ! Charly a dit tu arrêtes de jouer avec ton appareil photo et tu montes dans l’avion !!!!
Non mais si je me lève !!!!!
Allez zou on se bouge et on attache sa ceinture !!!!!
mdr…
Si je me lève !!! J’ai déjà entendu ça quelque part !
Cela dit, ta femme sait mieux s’y prendre pour nous faire rappliquer.
Gros bisous.
Bon… Récapitulons:
- chambre en bois: Prête
- Apéro: Prêt
- Barbec’: Prêt
- Fromage français: Prêt
- Bon vin rouge: Prêt
- Hamac et transat: Prêts
- Musique des 9 derniers mois: prête
Bon ben y manque plus que vous les loulous!!!!!!!!!
À très très très vite!!!!
Gros bisous à vous deux!!
Là… toi tu sais nous prendre par les sentiments… Tu nous fais rêver avec ton fromage, ton vin et ton barbec…
On profite de nos derniers jours népalais et on se repose un peu aussi…
On a hâte de vous voir.
Gros bisous à vous aussi.
A vite.
)
Profitez bien des derniers jours les amoureux! D’ailleurs, c’est pour ça qu’on ne vous assaille plus de mails et de commentaires!…
Juste un dernier mot: on doit passer la journée de jeudi à Paris, donc on sera à la gare à votre arrivée… On dit au bout du quai de votre train??
Des milliards de derniers bisous virtuels!!!
Bonjour, je découvre seulement votre blog aujourd’hui, en août 2014…! J’ai moi-même voyager en Inde en octobre dernier, et je me retrouve complètement dans la description que vous faites de votre séjour. Félicitations, tous les détails que vous donnez rendent très vivante votre expérience. On sent que vous avez aimé ce pays, malgré tous les petits désagréments habituels. Personnellement, j’y retourne dans quelques semaines (à Darjeeling, Kolkata, Varanasi notamment), très hâte de découvrir de nouveaux lieux et de revivre, pendant quelques jours, à l’indienne.
Benoît